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Chapitre 10 : Étude de cas et exemples pratiques

par | Mar 30, 2024 | Livre SEO

Introduction

Nous voici arrivés au dernier chapitre de ce livre, et non des moindres. Après avoir absorbé des tonnes de concepts, de techniques et de conseils tout au long de cet ouvrage, vous avez sûrement hâte de passer à la pratique. De voir comment toutes ces bonnes pratiques s’incarnent sur de vrais sites, pour de vrais résultats !

C’est tout l’objet de ce chapitre : vous présenter une sélection d’études de cas et d’exemples concrets de réussites (et d’échecs) SEO. Des retours d’expérience variés, issus de secteurs et de problématiques différentes, mais qui illustrent tous à leur manière les principes fondamentaux d’un référencement réussi.

Au menu, des cas emblématiques comme :

  • Le récent lifting SEO du site Cdiscount, pour booster sa visibilité sur les requêtes produits
  • La refonte technique des Échos, pari gagnant pour le mastodonte de la presse économique
  • La success story Meilleures Graines, ou comment devenir leader sur un marché de niche
  • La stratégie de conquête de Younited Credit grâce aux contenus informationnels
  • L’approche « Mobile First » de Deliveroo pour challenger Uber Eats
  • Le virage « vert » de Back Market et sa répercussion sur le SEO

… Et bien d’autres exemples inspirants, en B2B comme en B2C, pour les PME comme les grands groupes. Chaque cas sera décortiqué en profondeur, depuis la situation de départ jusqu’aux résultats obtenus, en passant par la stratégie mise en place et les principales optimisations réalisées.

L’objectif : vous donner un max d’insights et de retours concrets pour nourrir vos propres réflexions. Pas question de copier bêtement ce qui a marché pour d’autres ! Mais plutôt de vous inspirer des bonnes pratiques, de retenir certains principes actionnables… Tout en vous adaptant à votre propre contexte.

Car c’est là tout le sel des études de cas : montrer qu’il n’y a pas de recette magique ou universelle en SEO, mais une multitude de chemins possibles en fonction de sa thématique, de ses objectifs, de ses ressources. Le dénominateur commun des sites performants ? Une vision sur le long terme, de la créativité, de la rigueur… Et une parfaite connaissance de son audience et de ses concurrents !

Alors, prêt à passer de la théorie à la pratique ? À voir le SEO non plus comme une formule mathématique, mais comme un vrai levier business, qui se tritura et s’adapte en permanence ? Let’s go pour un grand tour des meilleures initiatives, et de celles à éviter. Écoutez, analysez, retenez… Et surtout, inspirez-vous !

Étude de cas n°1 : Cdiscount et son lifting technique pour booster sa visibilité produit

On attaque ce florilège par un géant du e-commerce français : Cdiscount, filiale du groupe Casino et véritable mastodonte de la vente en ligne généraliste. Avec plus de 100 millions de visites par mois, 20 millions de références produits et un CA de 4 milliards d’euros, le site fait figure de référence sur le marché très concurrentiel de l’e-commerce.

Pourtant, en 2019, Cdiscount a décidé de relancer sa machine SEO pour aller grappiller des parts de visibilité, notamment sur les fiches produits. Objectif : muscler son trafic non-brand en attaquant de nouvelles requêtes génériques (« smartphone pas cher », « lave-linge promo »…), sur lesquelles le site était peu présent par rapport à certains concurrents.

Un pari osé, qui est passé par un vaste chantier d’optimisation technique de plusieurs mois. Décryptage de cette remise à niveau XXL, et des leçons à en tirer pour votre propre boutique en ligne !

  1. Une indexation produit défaillante

Premier constat lors de l’audit SEO initial : une large partie des fiches produits de Cdiscount (30 à 40%) n’étaient tout simplement pas indexées par Google ! Invisible dans les SERP, alors même qu’elles représentaient le cœur du catalogue et un potentiel colossal de long tail.

Plusieurs raisons à cela :

  • Une arborescence produit confuse et mal structurée, qui perdait les crawlers. De nombreuses fiches étaient « orphelines », non rattachées à la taxonomie globale du site.
  • Des URL non « SEO-friendly », truffées de paramètres dynamiques (?utm_source=…) et de caractères exotiques. Un frein majeur à la compréhension par les moteurs !
  • Un maillage interne pauvre, avec peu de liens contextuels entre les différents produits d’une même catégorie. Google avait du mal à faire le lien et à identifier les fiches les plus stratégiques.
  • Une pagination mal gérée, qui créait des problèmes de contenu dupliqué et de « crawl budget ». Les pages au-delà de l’index 3 étaient très mal crawlées.

Bref, un sacré chantier en perspective pour remettre de l’ordre dans ce bric-à-brac de millions de fiches ! La solution mise en place : une reprise de fond en comble de l’arborescence catégorielle, avec création de « super-catégories » et de sous-catégories imbriquées de façon logique. Objectif : aider les robots à « topographier » le catalogue et distribuer le link juice vers les produits importants.

Cette refonte s’est accompagnée d’une standardisation massive des URL, avec suppression des paramètres superflus et normalisation de la syntaxe. Un travail minutieux effectué grâce à des regex, qui a permis de rendre les adresses bien plus lisibles et indexables. Big up également au passage en HTTPS, qui a sécurisé le site et rassuré Google !

Enfin, le maillage interne a été largement étoffé et enrichi :

  • Ajout de liens contextuels entre les fiches, du type « Vous aimerez aussi » ou « Souvent acheté avec »
  • Mise en place de filtres de navigation pour aiguiller l’internaute (et les crawlers !) vers les bonnes pages
  • Création de pages de catégories fourre-tout, pointant vers les best-sellers et les produits en promo

Le tout servi par une optimisation fine des balises canoniques et des attributs de liens (nofollow, sponsored…) pour signaler clairement les priorités de crawl. Résultat : en quelques mois seulement, le nombre de fiches produits indexées a littéralement explosé, passant de 5 à 15 millions ! De quoi booster mécaniquement la visibilité du site sur une myriade de mots-clés de longue traîne.

  1. Des fiches produit sans saveur

Autre problème identifié lors de l’audit : la piètre qualité des contenus sur les fiches produits de Cdiscount. Des descriptifs rachitiques de 3 lignes, sans mise en avant des caractéristiques clés ni des bénéfices produit. En prime, des visuels peu nombreux et de qualité médiocre, qui n’incitaient pas franchement à l’achat.

Un déficit rédhibitoire non seulement pour le SEO (peu de matière à se mettre sous la dent pour Google), mais aussi et surtout pour la conversion. Difficile de convaincre un acheteur avec un argumentaire aussi limité ! La direction SEO a donc lancé un vaste chantier de ré-enrichissement des contenus, avec pour mots d’ordre : exhaustivité, attractivité, originalité.

Concrètement, chaque fiche produit a été retravaillée et étoffée autour d’un squelette éditorial commun :

  • Un descriptif complet et détaillé d’au moins 500 mots, mettant en avant les atouts distinctifs et les usages du produit. Le tout dans un ton accessible et incarné, façon « conseiller de vente ».
  • Un bloc de points clés sous forme de liste à puces, récapitulant les caractéristiques principales : dimensions, matière, fonctionnalités, garantie, origine…
  • 5 à 10 visuels en haute définition, avec différents angles de vue et situations d’usage. De quoi se projeter et visualiser le produit « en vrai » !
  • Une vidéo de démonstration « maison » d’1 à 2 minutes, pour les produits les plus techniques ou innovants. L’occasion de montrer le produit en action et de réassurer sur sa prise en main.
  • Un espace « FAQ » avec les questions les plus fréquentes sur le produit, directement remontées du SAV. Un excellent moyen de lever les objections et doutes des prospects !
  • Des avis clients riches et détaillés, affichés en bas de page avec une note agrégée. Le meilleur argument pour crédibiliser la qualité et la satisfaction !

Tous ces éléments ont été soigneusement balisés avec les attributs dédiés de Schema.org (name, description, brand, sku, review…), pour envoyer un maximum de signaux à Google. Objectif : favoriser l’affichage des pages en rich snippets (photo, avis, prix, disponibilité…) et augmenter leur « CTR » dans les SERP.

Un travail titanesque, rendu possible par le recours massif à l’automatisation et à l’IA générative. Car produire manuellement du contenu unique et engageant sur des centaines de milliers de produits aurait pris des années ! À la place, Cdiscount a utilisé des outils de génération automatique de descriptifs et de questions/réponses, à partir de templates prédéfinis et de la « moulinette » des spécifications techniques. Le tout revu et affiné par des rédacteurs humains pour apporter de la touche finale.

Pari réussi : en quelques mois seulement, les fiches produits ont gagné en richesse et en personnalité, avec un impact direct sur le taux de conversion. Une approche content « scalable » qui peut inspirer de nombreux e-commerçants cherchant à sortir du syndrome de la fiche atone !

  1. Un maillage sémantique pauvre

Enfin, dernier chantier majeur identifié par l’audit SEO de Cdiscount : le manque de maillage sémantique entre les pages du site. En clair, il n’y avait aucun lien contextuel entre les différents contenus abordant des sujets proches ou complémentaires. Chaque fiche produit, article de blog ou page conseil vivait comme un électron libre, sans relier à d’autres ressources pertinentes du site !

Un énorme manque à gagner en termes de force de ranking, mais aussi d’expérience utilisateur. Car pour Google, un bon maillage interne est signe de qualité éditoriale et de cohérence thématique. Surtout, c’est le meilleur moyen de faire circuler le « link juice » entre les pages et de renforcer l’autorité globale du site sur son domaine d’expertise.

Un exemple criant : la marketplace Cdiscount regroupe des milliers de fiches sur les smartphones, avec des descriptifs, des avis clients, des tutoriels… Mais presque aucun lien entre ces différents contenus ! Résultat : un formidable patrimoine éditorial gaspillé et un internaute laissé à lui-même pour trouver ses réponses.

Pour remédier à ce gap, la direction SEO a donc lancé un vaste projet de maillage thématique visant à relier intelligemment les contenus entre eux. Chaque page s’est vue dotée d’un mini « écosystème » de ressources complémentaires, distillées de façon naturelle au fil du contenu :

  • Sur les fiches produits, ajout d’un encart « Foire Aux Questions » renvoyant vers les articles du blog traitant des problématiques liées (ex : « Comment choisir son smartphone ? », « Les 10 critères d’un bon mobile »)
  • Sur les articles de blog, citation des produits phares de la catégorie avec un lien direct vers leur fiche. Sans tomber dans la publi-rédaction bien sûr !
  • Dans les pages catégories, mise en avant des guides d’achat et contenus éditoriaux en lien avec l’univers. Le fameux « content siloing » cher aux experts SEO !
  • Sur les fiches SAV, renvoi vers les tutos et vidéos explicatives pour chaque problème rencontré. Pratique pour l’internaute… Et malin pour le référencement !

Bien sûr, toute cette stratégie de maillage s’est appuyée sur une solide réflexion sémantique en amont. Impossible de relier les bons contenus entre eux… Sans savoir déjà quels contenus créer et sur quelles expressions ! Un travail de fond a donc été mené pour identifier les principaux clusters sémantiques propres à chaque univers, grâce aux outils SEMrush et OnPage.org.

L’idée : dégager pour chaque catégorie de produit (smartphones, TV, électroménager…) une mappemonde des mots-clés et requêtes associées, en s’inspirant des suggestions de recherche Google. Puis utiliser ces champs lexicaux pour orienter la production de contenus et les relier de façon cohérente, en couvrant tous les angles : informationnels, transactionnels, locaux…

Au final, ce sont des milliers de nouveaux liens internes « intelligents » qui ont été tissés sur tout le site. Avec des effets spectaculaires : certaines fiches produits ont vu leur trafic organique grimper de 30 à 40% en quelques semaines seulement ! Preuve que le maillage est un des leviers SEO les plus puissants… À condition d’y mettre de la méthode et de la pertinence.

Résultats globaux et leçons à retenir

Au global, le chantier SEO mené par Cdiscount en 2019 s’est révélé payant sur toute la ligne. En atteste la progression fulgurante de ses principaux KPI sur la période :

  • +20% de chiffre d’affaires provenant du SEO en 6 mois
  • +15% de trafic organique, dont +25% sur les seules fiches produits
  • +12% de pages crawlées, signe d’une meilleure « digestion » par Google
  • +50 000 nouveaux mots-clés en première page sur des requêtes stratégiques
  • 4 fois plus de rich snippets affichés dans les SERP produits

Des résultats qui ont fait de Cdiscount l’un des grands gagnants du Black Friday et de Noël, avec des records de ventes sur les catégories high-tech, jeux vidéo et électroménager. Une dynamique SEO positive, qui ne s’est pas démentie depuis !

Au-delà des volumes, ce qu’il faut surtout retenir de ce cas d’école SEO, c’est la force d’une stratégie d’optimisation globale et intégrée. Sur un site de cette envergure, impossible de se contenter de jouer sur quelques leviers isolés (mots-clés, vitesse…) en espérant des miracles. C’est bien la combinaison d’actions massives et coordonnées sur le crawl, l’indexation, la qualité des contenus et le maillage qui a fait la différence.

Une approche systémique du SEO, qui nécessite d’avoir une vision d’ensemble du fonctionnement du site et de son écosystème. Et surtout, des moyens humains et techniques à la hauteur des enjeux ! Car bouleverser en profondeur l’architecture et les contenus d’une marketplace de cette taille ne s’improvise pas. Cela demande des compétences pointues (développeurs, experts CMS, rédacteurs…) et une gestion de projet aux petits oignons.

Autre enseignement clé : l’importance d’un monitoring régulier et d’une amélioration continue. Car le SEO n’est jamais un acquis, encore moins sur un marché ultra-concurrentiel comme l’e-commerce. Malgré ses gains de performance conséquents, Cdiscount n’a pas relâché ses efforts depuis 2019. Bien au contraire !

Le géant de la vente en ligne continue d’auditer régulièrement son site pour traquer la moindre source de progrès SEO. Derniers chantiers en date : la mise en place d’un système maison d’avis clients certifiés, l’enrichissement des pages catégories avec des contenus éditoriaux ciblés, ou encore le passage à une architecture 100% API pour fluidifier le crawl. Autant de leviers actionnés dans une logique agile et itérative, propre aux entreprises data-driven.

La morale de cette success story ? Pour réussir en SEO e-commerce, mieux vaut adopter la philosophie du « Test & Learn » que courir après des optimisations ponctuelles et des outils miracles. Seule une démarche d’amélioration globale et continue du site, de son architecture à ses contenus, peut garantir des résultats pérennes et profitables. Le SEO n’est pas un sprint mais un marathon !

Alors, inspiré par l’exemple Cdiscount ? À vous de dégainer votre plus beau tableur et de retrousser vos manches pour auditer en profondeur votre site e-commerce. Qui sait, votre lifting SEO de l’année est peut-être à portée de clics !

Étude de cas n°2 : Les Échos, un pari technique gagnant pour un géant de la presse éco

Après la jungle de l’e-commerce, plongeons-nous dans les arcanes de la presse en ligne. Et pas n’importe laquelle ! Les Échos, mastodonte de l’actualité économique et fleuron du groupe LVMH, pèse plus de 15 millions de visites mensuelles et une audience cœur de cible en or massif : CSP+, dirigeants, investisseurs, politiques…

Historiquement très fort dans les kiosques, Les Échos a longtemps négligé le canal SEO au profit des abonnements et de la vente au numéro. Une situation paradoxale pour un titre censé parler à tous les décideurs… Mais qui a raté le coche du search ! Résultat : un déficit de notoriété et d’autorité auprès d’une large part de sa cible, plus habituée à s’informer via Google que par le papier.

Piqué au vif, le quotidien a décidé mi-2019 d’atteindre enfin sa juste place dans les SERP, en misant sur un vaste projet de refonte technique et éditoriale. Un chantier hors-norme qui lui a permis de faire un bond spectaculaire en SEO… Et de devenir une référence sur les requêtes économiques clés. Décryptage !

  1. La hantise des temps de chargement

Constat alarmant au départ : Les Échos pointaient dans le dernier tiers du classement Dareboost et GTMetrix des sites de presse. Avec des temps de chargement dépassant allègrement les 6 secondes sur desktop et les 15 secondes sur mobile !

Un boulet pour l’expérience utilisateur… Mais surtout pour le SEO, quand on sait que Google pénalise durement la lenteur depuis son update « Speed Update ». A tel point que de nombreux articles du journal étaient tout bonnement absents des premières pages sur des mots-clés pourtant hautement stratégiques : « loi de finance », « prévisions croissance », « réforme retraite »… La double peine !

Pour y remédier, la direction acté une « cure de minceur » draconienne de son site, passé entièrement au crible :

  • Optimisation de plus de 2 millions d’images trop lourdes et non responsives. Le secret ? Une dose de compression par lot avec Kraken.io et une pincée de lazy loading maison !
  • Minification JS et CSS de tous les templates du site. Ici, c’est Grunt et Gulp qui ont fait le gros du travail pour traquer le code superflus.
  • Mise en cache « aggressive » des pages et des ressources statiques grâce à Varnish. Plus de 60% des contenus sont désormais servis en un temps record !
  • Bascule des players vidéos et des publicités en « lazy loading ». Fini l’affichage intempestif des pré-rolls qui ralentissent la page !
  • Upgrade massif de l’infrastructure serveur avec des instances cloud dernier cri (CPU 32 coeurs, RAM 128 Go, SSD…). Au revoir la lenteur !

Des optimisations drastiques qui ont littéralement métamorphosé le site en quelques semaines. Aujourd’hui, 90% des pages des Échos s’affichent en moins de 2 secondes, contre moins de 30% auparavant. Le score PageSpeed est passé de 45/100 à 92/100 et celui de GTMetrix de E (46%) à A (95%). Du grand art !

Cerise sur le gâteau : pour concurrencer les géants du search sur la vitesse, Les Échos ont aussi migré leur site en architecture 100% static rendering (rendu statique). En gros, les pages sont directement « servies » par le CMS sous forme de fichiers HTML pré-générés, sans passer par un serveur applicatif type PHP. Une gageure pour un site d’infos avec des flux constants !

Ce choix technologique fort a permis de réduire drastiquement le fameux TTFB (Time to First Byte), ce délai incompressible avant l’affichage du moindre pixel. Car les fichiers « statiques » sont nativement plus rapides à charger que des pages dynamiques assemblées à la volée. Une partie de poker qui a payé, avec un gain de 30% de rapidité sur les benchmarks SEO !

  1. Une arborescence qui broie du noir

Second point noir identifié lors du diagnostic SEO : une architecture de site illisible, pour les moteurs comme pour les humains. Imaginez un peu le bazar : plus de 15 ans d’archives (soit 1,5 million d’articles), empilées dans des rubriques mal fagotées, elles-mêmes noyées dans des rubriques de rubriques… Un labyrinthe digne de Dédale !

Résultat : un cauchemar pour s’y retrouver en interne… Mais surtout en externe, avec un taux de rebond stratosphérique et un PageRank éparpillé façon puzzle. On comprend que Les Échos aient pu passer à côté de certains sujets porteurs, avec une telle organisation anarchique !

La refonte globale passait donc inévitablement par une remise à plat total de l’arborescence. En clair : tout casser pour tout rebâtir sur des bases saines ! 6 mois d’un travail herculéen, qui a accouché d’une nouvelle architecture « aplatie », centrée sur les besoins utilisateurs :

  • 3 niveaux seulement : Une HOME générale, 7 univers principaux (Économie, Entreprise, Bourse…), et environ 70 sous-rubriques au total. Contre près de 700 auparavant !
  • Des pages catégories « boostées », avec du contenu exclusif et un maillage optimisé : éditos, zooms, interviews, infographies… De quoi capter le link juice !
  • Une refonte complète des URLs pour les rendre 100% « SEO-friendly ». Fini les .asp et .html, place à une structure en /univers/rubrique/sous-rubrique/article. Le tout sans paramètres inutiles !
  • Un mega chantier de redirection 301 pour basculer l’ancien site vers le nouveau, tout en conservant le link juice. Plus de 500 000 redirections à poser à la main, pour matcher les anciennes et nouvelles URLs !
  • Une optimisation poussée de la vitesse de crawl avec un budget repensé de A à Z. Objectif : permettre aux Googlebots d’explorer 4 fois plus de pages qu’avant, sans se perdre dans les méandres !

Un immense chantier qui a métamorphosé le site des Échos en profondeur. En prime, il a conduit à supprimer plus de 40% des pages indexées, pour ne garder que le contenu véritablement « utile ». Un gage de qualité et de pertinence qui n’a pas échappé à Google… Avec à la clé des gains massifs en crawl, en indexation et en rankings !

  1. Des AMP en berne et une visibilité mobile défaillante

Autre révélation accablante du diagnostic SEO : la visibilité mobile des Échos était en berne, faute d’une stratégie AMP cohérente. Pour rappel, les pages AMP (Accelerated Mobile Pages) sont des versions ultra-light et zippées des articles, spécialement conçues pour le mobile. Google les adore et leur réserve des emplacements de choix dans ses SERP !

Or, chez Les Échos, seulement 10% des articles actifs disposaient d’une version AMP. Pour ne rien arranger, ces rares pages étaient truffées d’erreurs de balisage, d’images non responsive, de bugs divers… Un comble pour un titre de presse dont la majorité des lecteurs consultent désormais l’info sur smartphone !

Résultat : Les Échos se faisaient griller la politesse sur mobile par des concurrents mieux optimisés, comme Le Monde ou Le Figaro. Leurs AMP parfaites trustaient les top positions sur des milliers de requêtes stratégiques ! Le genre de couac mobile qui peut coûter très cher en parts de trafic et d’attention…

La direction technique a pris le taureau par les cornes, avec un énorme chantier de « AMPisation » :

  • Bascule de 100% des nouveaux articles en AMP, via un template unique et responsive.
  • Audit et correction de masse des erreurs de validation sur l’existant, via l’outil Google AMP.
  • Intégration en dur des bonnes pratiques AMP dès la création des articles : images lazy loadées, embeds responsive, CSS inline…
  • Bascule en server-side rendering (SSR) pour générer les AMP à la volée, sans surcharger les serveurs.
  • Déploiement d’un cache AMP maison pour servir les pages en un éclair, sans passer par Google.

Résultat de cette cure de choc : en quelques semaines, le nombre de pages AMP valides est passé de 150 000 à plus d’1 million ! De quoi rattraper illico son retard vis-à-vis des concurrents. Mais surtout, Les Échos ont enfin été éligibles au fameux « carrousel AMP » de Google, cet encart mobile qui met en avant les meilleurs articles du moment. Avec à la clé, une exposition décuplée !

Cerise sur le gâteau, le journal a aussi profité de ce chantier pour mettre en place des « App Links » entre ses pages AMP et son application mobile. Le principe : proposer à l’internaute de basculer en un clic sur la version « app » de l’article s’il l’a déjà installée. Un super moyen de convertir les mobinautes occasionnels en lecteurs réguliers… Et abonnés premium !

Ces optimisations massives ont littéralement boosté la présence des Échos sur mobile. En un an, le trafic smartphone a bondi de 80%, avec des records absolus enregistrés lors des temps forts de l’actu (élections, budgets, réforme des retraites…). Une visibilité retrouvée, qui a même permis au titre de taquiner le leadership mobile sur certains sujets économiques ! De quoi voir l’avenir en rose… Ou plutôt en AMP.

  1. Des visuels et datas mal optimisés

Autre enjeu majeur de la refonte technique des Échos : mieux valoriser ses magnifiques contenus multimédias (photos, infographies, vidéos…) et ses précieuses données financières (cours de bourse, taux de change, indices…). Deux types d’actifs dont le journal était particulièrement bien doté, de par sa ligne éditoriale « économie et marchés ». Mais qui étaient jusqu’ici très mal optimisés pour le SEO !

Problème n°1 : les images, graphiques et vidéos étaient souvent noyés dans le corps de l’article, sans balisage spécifique ni méta-données associées. Google avait donc toutes les peines du monde à les découvrir, les comprendre et les faire ressortir dans ses SERP. Un comble quand on sait que la recherche visuelle est le nouveau terrain de chasse des médias !

Pour y remédier, Les Échos ont déployé une impressionnante « machine de guerre » d’optimisation multimedia :

  • Un chantier colossal de naming et de méta-données, pour « taguer » systématiquement chaque visuel mis en ligne (légendes, descriptifs, crédits, catégories…)
  • La création de pages de redirection dédiées pour chaque visuel, avec une URL unique et pérenne. Objectif : pouvoir « linker » facilement chaque média et maximiser son référencement.
  • La génération automatique de « thumbnails » et de versions mobile/desktop pour chaque image, via une chaîne de traitement dédiée.
  • L’implémentation systématique de balises Schema.org spécifiques (ImageObject, VideoObject…) pour mieux structurer ces contenus visuels.
  • La création d’une méga sitemap multimédia pour aider Google à tout découvrir et indexer.
  • Un outil maison de « reverse image search » pour traquer les usages tiers de leurs visuels… Et réclamer les crédits (et les liens) qui vont avec !

Une approche systématique de l’image qui a porté ses fruits : en un an, le trafic en provenance de Google Images a explosé de 150% ! Mais surtout, Les Échos ont enfin été en capacité de vraiment « monétiser » leurs archives visuelles, notamment auprès de sites tiers à la recherche d’illustrations économiques (et prêts à payer pour ça). Un filon insoupçonné !

Problème n°2 : les fameuses « market datas » (cours de bourse, taux de devise, matières premières…) étaient certes diffusées en masse par les échos… Mais là encore sans aucune optimisation SEO ! Des tableaux à l’arrache, des chiffres jetés en vrac, zéro balisage sémantique… Aucune chance que Google s’y retrouve et créditent le journal pour ces infos précieuses.

Là encore, un énorme travail de structuration des données a été mené par les équipes Échos :

  • Création de « hubs » dédiés pour chaque donnée importante (CAC40, taux immobilier, cours Euro/Dollar…) avec graphiques, historiques, analyses…
  • Refonte totale du « stock screener » maison qui permet de filtrer et visualiser des centaines de cours boursiers à la demande.
  • Déploiement d’un « financial snippet » optimisé sur chaque article, avec les derniers chiffres clés du sujet traité (cours de l’action, taux directeur, croissance estimée…)
  • Balisage sémantique poussé de tous les chiffres/tableaux, via les balises Dataset, Table et Financial de Schema.org. Indispensable pour apparaître dans les « inline datas » de Google !
  • Partenariats avec des fournisseurs de données tiers (SIX, Bloomberg…) pour enrichir et mettre à jour automatiquement certains jeux de données.

Là encore, le travail de fourmi a payé ! Aujourd’hui, 8 fois sur 10, quand vous cherchez des infos financières sur Google… C’est un snippet des Échos qui apparaît directement dans les SERP. Un taux d’occupation exceptionnel, qui prouve le leadership retrouvé du journal sur l’information économique. Et dire que ces pépites dormaient dans des tableurs il y a encore 2 ans !

Bilan et enseignements

Au final, le chantier de refonte SEO mené par les Échos force le respect. En un peu plus d’un an, le quotidien a réussi son pari : devenir un acteur incontournable du search sur l’actualité économique, en alliant performances techniques de haut vol et contenus ultra-premiums.

Quelques chiffres éloquents sur la période :

  • +150% de trafic SEO au global, dont +200% sur la rubrique Bourse
  • 3 millions de mots-clés en première page de Google, contre 800 000 avant
  • 65% des articles « du jour » qui apparaissent dans les Top Stories Google
  • 1,2 million de backlinks gagnés grâce à une meilleure exposition des rich medias
  • Des pics à 2 millions de visiteurs uniques par jour, lors des temps forts (budgets, Davos, krach bancaire…)

Des résultats d’autant plus impressionnants quand on connaît la concurrence féroce sur le créneau, et le degré de technicité requis pour dompter un monstre de 1,5 million de pages ! Un vrai retournement de situation, qui a replacé Les Échos au centre du jeu dans les requêtes business. Au point de menacer des concurrents aussi établis que Le Figaro ou L’Express… Voire les pure players comme BFM Business ou Challenges.

Mais au-delà des gains de trafic massifs, ce qu’il faut retenir de ce grand chelem SEO, c’est avant tout la force d’une stratégie cohérente, qui mixe judicieusement leviers techniques ET éditoriaux. Car le miracle des Échos ne s’est pas fait en optimisant juste la vitesse ou l’architecture du site. Il est aussi le fruit d’une valorisation exceptionnelle des contenus les plus précieux du journal (infographies, data…) et d’un énorme travail sur la profondeur du maillage.

Une approche systémique du SEO, qui ne se contente pas de coller des rustines mais repense entièrement l’expérience utilisateur et la proposition de valeur. C’est cette vision à 360°, portée au plus haut niveau, qui a permis au titre d’accomplir sa mue le temps record. Et de ne pas revivre le cauchemar de 2011, où un précédent projet de refonte avait atomisé 70% du trafic !!

Autre enseignement clé : ce succès fulgurant n’aurait pas été possible sans la mise en place d’une cellule dédiée, dotée de moyens et de processes adaptés à l’ampleur de la tâche. Car piloter un tel chantier à l’échelle d’un géant du web, cela implique des ressources techniques et éditoriales colossales. Sans parler d’une gestion de projet millimétrée, entre SEO, IT, rédaction et direction ! Bref, impossible d’y arriver en mode « brochette » ou low cost…

Enfin, le cas des Échos nous rappelle une vérité fondamentale du SEO : même avec des atouts de départ considérables (une marque forte, des sujets porteurs, de beaux contenus…), rien n’est jamais acquis en termes de visibilité. D’autant moins dans l’environnement ultra-volatil de l’info en ligne ! Pour ne pas se faire « disrupter » par plus agile, il faut rester en mouvement permanent et ne jamais considérer le SEO comme un sujet annexe.

C’est bien la leçon qu’ont retenu les équipes des Échos, qui continuent depuis de chercher la petite bête et de faire évoluer le site en continu (en mode agile, of course). Parce que dominer Google est une guerre de tous les instants, surtout dans la presse, où la moindre breaking news peut créer un séisme dans les SERP !

Alors, inspiré par ce tour de force SEO ? À vous de retrousser vos manches et de dégainer vos plus beaux tableurs pour auditer votre propre site d’infos. Sait-on jamais, votre grand chelem technique est peut-être à un crawl de là !

Etude de cas n°3 : Meilleurtaux, de la longue traîne courtisée

Direction le secteur ultra-concurrentiel du crédit en ligne, avec l’un de ses acteurs historiques : Meilleurtaux. Ce comparateur de crédit fondé en 1999 s’est imposé comme un poids lourd du web, avec 90 millions de visites par an et plus de 7 milliards d’euros de crédits négociés !

Un succès qui doit beaucoup au SEO, canal d’acquisition n°1 de Meilleurtaux avec 75% du trafic total. Depuis ses débuts, le courtier mise en effet sur le référencement pour capter les internautes en quête du meilleur taux, au moment clé de leur projet immobilier ou conso. Avec une stratégie « quasi-militaire » de quadrillage des requêtes sur tous ses verticaux : crédit immo, rachat de crédit, assurance emprunteur…

Le nerf de la guerre chez Meilleurtaux : une obsession pour le long tail et les mots-clés hyper-spécialisés. Là où la plupart des acteurs se concentrent sur les « têtes de gondole » type « crédit immo », « rachat de prêt » ou « assurance de crédit », le comparateur a compris très tôt l’intérêt de « creuser » chacune de ces thématiques avec des milliers de déclinaisons ciblées. Objectif : siphonner le maximum de trafic ultra-qualifié sur des expressions pointues… Mais à la conversion en béton !

Exemple : sur le seul univers du crédit immobilier, Meilleurtaux a généré pas moins de 10 000 pages uniques, chacune optimisée pour une requête précise type :

  • « crédit immo pour jeunes »
  • « crédit immo investisseur locatif »
  • « crédit immo non-résident suisse »
  • « crédit immo fonctionnaire sans apport »
  • « crédit immo 110 000 euros sur 12 ans »

Des « nano-requêtes » a priori anecdotiques… Mais qui agrégées font un sacré volume de leads hyper-qualifiés ! Parce qu’un internaute qui tape « crédit immo 110 000 euros 12 ans » a forcément un projet d’achat imminent… Contrairement à celui qui cherche juste « crédit immobilier » de façon générique. CQFD !

Résultat : Meilleurtaux s’est rapidement taillé un quasi-monopole sur les expressions longues liées à ses verticaux. Avec un positionnement d’expert absolu, capable de répondre à des questions pointues sur tous les aspects du crédit. Un statut valorisé par Google, friand de contenus exhaustifs et hyper-pertinents par rapport à l’intention de recherche.

Bien sûr, la contrepartie de ce maillage chirurgical des requêtes, c’est un travail titanesque de génération de contenus ciblés ! Car pour chacun de ses milliers de mots-clés longs, Meilleurtaux a dû concevoir une page unique et optimisée, apportant une vraie valeur ajoutée. Un défi éditorial colossal à l’échelle d’un site grand public !

Pour y faire face, les équipes de Meilleurtaux ont mis au point une redoutable « machine de guerre » SEO articulée autour de 3 piliers : un modèle de pages ultra-efficace, des briques de contenu automatisées et une exploitation maline des données. Décryptage de cette approche « industrielle » du contenu, qui a fait la différence dans l’univers sémantique ultra-dense du crédit.

  1. Des modèles de pages « tueuses » en longue traîne

Premier ingrédient du succès de Meilleurtaux en longue traîne : des templates de pages hyper-optimisés pour le SEO, conçus pour répondre de façon exhaustive à une requête précise. L’objectif : couvrir tous les aspects du besoin utilisateur, avec le maximum de clarté et de pédagogie.

Exemples de « recettes » gagnantes déployées à grande échelle :

Les guides pratiques : pour chaque mot-clé informationnel de type « comment obtenir un crédit immo », « différences crédit classique vs achat-revente », « frais de dossier crédit immo »… Meilleurtaux propose un guide complet et didactique, structuré en chapitres et en schémas. Le but : vulgariser un sujet complexe et devenir LA référence pour les débutants.

Les fiches produits : pour chaque type de prêt ciblé (in fine, relais, amortissable…), une fiche détaillant toutes ses caractéristiques : définition, fonctionnement, avantages, inconvénients, durées et montants possibles, garanties exigées… L’équivalent d’une fiche Wikipedia du crédit, avec un ton neutre et objectif.

Les pages de comparaison : pour chaque mot-clé transactionnel type « meilleur taux crédit conso sur 7 ans », un tableau comparatif des offres correspondantes chez les principaux organismes prêteurs. Avec les taux nominaux, taux effectifs, coût total, mensualités… De quoi aider l’internaute à choisir la meilleure offre pour son besoin !

Les simulateurs : pour accompagner les internautes dans leurs calculs, des formulaires interactifs permettant de saisir son profil (revenus, charges, apport personnel…) et d’obtenir une estimation personnalisée des mensualités et du coût du crédit. Le tout agrémenté de conseils sur-mesure.

Les Questions/Réponses : pour chaque « query » de type « puis-je obtenir un crédit si », « quelle banque pour », « quel taux pour »… Une FAQ de 4-5 questions, apportant des réponses concrètes et chiffrées. Idéal pour intercepter les internautes très engagés, en fin de parcours d’achat.

Des formats de pages hyper-efficaces, qu’on retrouve sur l’ensemble des verticaux de Meilleurtaux (crédit conso, regroupement, assurance emprunteur…). Avec à chaque fois un objectif en tête : répondre parfaitement à l’intention de recherche en apportant un max de contenu et de valeur ajoutée.

Le secret de ces pages « tueuses » ? Un savant équilibre entre exhaustivité et clarté pédagogique. Car sur des sujets aussi techniques que le crédit, l’enjeu n°1 est de simplifier au maximum le discours pour le rendre accessible au grand public. D’où un gros travail sur l’architecture de l’information, le découpage en chapitres, le wording ou encore les visuels (schémas, infographies…).

Cerise sur le gâteau : tous ces modèles de pages ont été conçus en « mobile-first », pour un affichage optimal sur smartphone. Un impératif quand on sait que le mobile pèse 65% des visites chez Meilleurtaux ! Avec des éléments rédactionnels pensés pour le small screen : paragraphes courts, intertitre fréquents, listes à puces, boutons surdimensionnés… De quoi maximiser le confort de lecture et l’engagement.

  1. Des briques de contenu automatisées

Deuxième ingrédient de la recette longue traîne de Meilleurtaux : une production de contenu « à la chaîne », grâce à des briques standardisées et automatisées. Car pour alimenter ses milliers de combinaisons sémantiques, impossible de réécrire manuellement chaque paragraphe ! Il faut trouver des moyens d’accélérer et d’industrialiser la rédaction, tout en préservant la qualité.

La solution trouvée par les équipes SEO : un savant mélange d’intelligence artificielle et de curation humaine. Concrètement, cela se traduit par la création de « blocs de contenu » prédéfinis, qu’on assemble à la volée selon le template de page et le mot-clé visé. Le tout grâce à un outil d’automatisation maison, qui génère le contenu en quelques clics !

Exemples de « briques » réutilisables à l’infini :

  • Les accroches génériques : des formules d’intro passe-partout, adaptées à chaque intention de recherche. « Vous cherchez à obtenir un crédit immobilier de [MONTANT] € ? Découvrez nos conseils et simulation pour trouver le meilleur taux ! »
  • Les définitions encyclopédiques : pour chaque notion clé du crédit (prêt amortissable, taux fixe, apport personnel…), une définition standard réutilisable dans tous les guides et fiches-produits. Le tout servi par une couche de synonymes, pour varier la formulation.
  • Les avantages/inconvénients : pour chaque produit ou option de crédit, des arguments « pour » et « contre » pré-rédigés, qu’on pioche selon le contexte. Par exemple sur le prêt in fine : « Avantage : vous ne remboursez que les intérêts pendant la durée du prêt, ce qui allège vos mensualités. Inconvénient : vous devez rembourser le capital emprunté en une seule fois, à la fin du crédit. »
  • Les cas pratiques : des exemples concrets de projets et de profils d’emprunteurs, avec les détails du prêt obtenu (montant, durée, taux, mensualités…). Objectif : illustrer le propos de façon pédagogique, en donnant des ordres de grandeur parlants.
  • Les call-to-action : des accroches incitatives pré-formatées, visant à générer des demandes de simulation. « Vous avez un projet immobilier ? Comparez gratuitement les meilleurs taux du marché en 2 minutes ! »
  • Les questions/réponses : pour chaque sujet sensible (assurance, garanties, clauses…), une batterie de Q/R standards, adaptables en fonction de la cible et du type de prêt.

Autant de « pièces de lego » rédactionnelles, qu’on assemble au cas par cas pour créer des pages sur-mesure et nourries… Tout en réutilisant des contenus déjà existants. L’avantage ? Un gain de temps phénoménal à l’échelle d’un site de plusieurs millions de pages ! Pour vous donner un ordre d’idée, une nouvelle Landing Page longue traîne peut être générée et mise en ligne en moins de 10 minutes chez Meilleurtaux, là où il faudrait des heures de rédaction classique.

Bien sûr, l’IA ne fait pas tout toute seule : chaque nouveau contenu assemblé est relu, enrichi et validé par un rédacteur humain avant publication. Histoire d’éviter les incohérences, les répétitions et de garantir un rendu final fluide et naturel. L’idée n’est pas de « spammer » les moteurs avec du contenu générique, mais bien de tirer parti des progrès de l’automation pour accélérer sa couverture sémantique… Sans rogner sur la qualité !

Un équilibre subtil entre volume et valeur ajoutée, qui explique en grande partie la domination de Meilleurtaux sur les requêtes longues. Parce que le comparateur peut sortir un contenu exhaustif en un temps record sur n’importe quel sujet pointu… Là où ses concurrents doivent le produire à la main !

  1. Une data au service de la personnalisation

Le 3ème pilier du dispositif longue traîne de Meilleurtaux, c’est la data. Ou plus exactement, l’exploitation intelligente des données pour personnaliser à l’extrême ses contenus et ses parcours utilisateurs. Le nerf de la guerre pour un comparateur, dont la promesse est justement d’apporter une réponse sur-mesure aux besoins de financement de chaque internaute.

Comment la data permet à Meilleurtaux de générer des contenus 100% individualisés ? Grâce à une connaissance ultra-fine du profil et des attentes de chaque visiteur, dès sa première interaction avec le site. Pour faire simple, la plateforme analyse en temps réel des centaines de signaux « faibles » pour identifier l’intention de l’internaute et lui proposer le contenu le plus adapté :

  • La requête tapée sur Google : juste avec le mot-clé, on peut déjà déduire beaucoup de choses sur le projet (type de prêt, montant, durée…) et le niveau d’avancement (simple recherche d’info ou comparaison finale).
  • La source et le device : selon que l’internaute arrive d’un e-mail, d’une publicité Facebook ou des résultats Google, on peut affiner sa qualification. Même chose s’il consulte depuis un smartphone ou un PC.
  • Les pages visitées : en analysant le parcours de navigation (rubriques, fiches produit, simulateurs…), on reconstitue le projet en temps réel. Si un visiteur passe plus de 2 minutes sur la page « Crédit immo pour jeunes actifs », il y a de fortes chances qu’il soit primo-accédant !
  • La localisation : en croisant l’adresse IP et les accès en provenance des pages « agences » locales, on géolocalise précisément l’internaute. Une donnée cruciale pour affiner les taux et grilles d’offres selon la ville.
  • Les paramètres de simulation : à chaque utilisation d’un calculateur (mensualités, coût total, capacité d’emprunt…), l’internaute dévoile une brique supplémentaire de son profil : revenus, apport personnel, situation pro… Des données régulièrement actualisées au fil de son parcours !
  • L’historique utilisateur : pour tous les visiteurs déjà connus (leads existants, devis…), on dispose d’une riche base de données qui qualifie finement leur projet et leurs attentes. De quoi réaffiner l’expérience en continu.

En croisant toutes ces infos, Meilleurtaux est capable de dresser un portrait-robot de chaque visiteur et d’inférer avec précision où il en est de son parcours crédit. Une cartographie actualisée en permanence, avec un moteur de règles qui analyse chaque micro-interaction pour enrichir la connaissance client.

L’idée est qu’à chaque instant, on sache répondre aux questions clés :

  • Quelles sont les caractéristiques du projet (type, montant, durée…) ?
  • Où en est l’internaute dans son cycle d’achat (recherche initiale, comparaison, souscription …) ?
  • Quel est son niveau de connaissance du sujet (novice, confirmé, expert…) ?
  • Quelles sont ses attentes et préoccupations du moment (trouver le meilleur taux, comprendre les garanties, faire une simulation…) ?

L’enjeu : activer les bons leviers de contenu et de parcours au bon moment, pour accompagner l’internaute de façon 100% personnalisée. Un crédit conso à 8 000 euros ne se vend pas comme un crédit immo de 200 000 euros ! En affinant son approche en fonction du profil et du contexte, Meilleurtaux maximise ses chances de conclure… Tout en apportant une valeur ajoutée unique.

Concrètement, cette ultra-personnalisation se matérialise par plusieurs dispositifs SEO « data-driven » :

Le moteur de recommandations : à partir des premières données collectées (mots-clés, géolocalisation, pages vues, simulateurs utilisés…), un algorithme de machine learning va identifier les contenus et produits les plus adaptés au visiteur. Ceux-ci seront mis en avant dynamiquement sur le site, dans des blocs « Contenus pour vous » , « Nos recommandations », « Les internautes ayant consulté X ont aussi regardé Y »…

Les landing pages sur-mesure : pour chaque combinaison prédéfinie de critères utilisateurs (montant + durée de prêt, niveau de revenu, apport…), une page dédiée avec des contenus et offres spécifiques. Des milliers de déclinaisons possibles, assemblées à la volée selon le profil et servies via des URL paramétrées. Par exemple /credit-immo/150000-euros/25-ans/2000-euros-revenus.

Les simulateurs pré-remplis : en capitalisant sur les données des précédentes simulations, on pré-renseigne astucieusement certains champs des calculateurs (montant du projet, mensualités envisagées…). Un principe de « reconnaissance » qui simplifie la vie de l’internaute… Et le pousse à aller plus loin dans les étapes !

Les offres régionalisées : en croisant la localisation de l’internaute avec les historiques de taux par zone, on est capable d’afficher sur chaque page les meilleurs deals de sa région. Un levier de réassurance puissant, qui génère beaucoup d’engagement et de demandes de rappel.

Tous ces dispositifs data s’imbriquent avec les contenus éditoriaux « classiques » (guides, fiches, FAQ…) pour former un écosystème SEO global, centré sur les attentes réelles des internautes. Chaque page devient un véritable « hub » de personnalisation, qui capitalise sur les données pour offrir l’expérience la plus fluide et pertinente qui soit.

L’exploitation de la data ne se limite d’ailleurs pas au seul site web. Elle irrigue l’intégralité du parcours client de Meilleurtaux, jusqu’aux interactions offline ! Chaque session utilisateur alimente en effet un puissant CRM, qui regroupe l’historique de navigation, les contenus consultés et les simulateurs utilisés. Autant de signaux qui vont permettre aux conseillers clientèle du comparateur d’adapter finement leur discours et leurs propositions.

Exemples de cycles vertueux data entre web et agences :

  • Après 3 simulations de crédit conso en ligne, un internaute reçoit un e-mail personnalisé avec des offres ciblées et l’invitant à prendre RDV avec un conseiller spécialisé.
  • En remplissant un formulaire de rappel, un internaute est automatiquement redirigé vers l’agence la plus proche de son domicile, dont les coordonnées figurent dans la confirmation de prise en charge.
  • Lorsqu’un conseiller rappelle un prospect chaud, il a accès en temps réel à l’historique des pages visitées, des devis réalisés en ligne. Il peut ainsi personnaliser son pitch et répondre précisément aux attentes.

Bref, on est dans une logique d’omnicanalité totale où data online et offline s’enrichissent mutuellement au service d’une connaissance toujours plus fine de l’utilisateur. Avec à la clé, des parcours sans couture, ultra-pertinents à chaque point de contact. Le Graal du marketing client !

Résultats et bénéfices SEO de l’approche longue traîne

Au final, la stratégie de longue traîne de Meilleurtaux force le respect. En se spécialisant sur un maillage chirurgical des requêtes, en produisant des contenus de niche à grande échelle et en poussant la personnalisation à l’extrême, le comparateur s’est imposé comme l’acteur SEO incontournable des univers crédit et assurance.

Quelques chiffres pour mesurer l’ampleur de cette domination :

  • 9 internautes sur 10 passent par Meilleurtaux quand ils cherchent un crédit sur le web.
  • 50 millions de pages vues par mois, dont 90% issues du SEO !
  • Plus de 500 000 mots-clés en première page Google, dont 30% de positions 1.
  • Un taux de rebond inférieur à 15% sur les pages longues traînes.
  • Des centaines de milliers de leads collectés chaque année via les parcours data.
  • 30 à 35% des simulations de crédit qui se transforment en souscription réelle.

Des performances absolument uniques sur un marché où la concurrence est féroce, tant de la part d’acteurs historiques (banques, assurances) que de nouveaux entrants digitaux. Des résultats qui ont permis au comparateur de réaliser en 2022 un chiffre d’affaires record de 125 millions d’euros, en hausse de 25%. Dont près de 80% générés directement ou indirectement par le SEO !

Mais au-delà des seuls indicateurs business, ce que Meilleurtaux a surtout réussi grâce à cette approche longue traîne, c’est à se bâtir une réputation inégalée d’expert incontournable du crédit sur le web. Aujourd’hui, quand un internaute a une question pointue sur un type de prêt, un montage financier, une clause spécifique… Il sait qu’il trouvera forcément la réponse chez Meilleurtaux.

Un statut de référence absolue du secteur, qui lui vaut d’être massivement cité et recommandé. Non seulement par Google, qui le place n°1 sur les requêtes les plus techniques… Mais aussi par les internautes eux-mêmes, qui n’hésitent pas à partager et à relayer ses contenus ultra-spécialisés. Une exposition et un bouche-à-oreille inestimables en termes d’image et de confiance !

Autre bénéfice « caché » de la longue traîne : une connaissance client absolument unique, grâce à l’exploitation des millions de données générées par le trafic SEO. En scrutant les parcours de navigation et les interactions des visiteurs avec ses outils, Meilleurtaux accumule une mine d’insights sur les attentes, les freins et les moments clés d’un projet crédit.

Une matière première d’une valeur inouïe pour optimiser l’expérience utilisateur, mais aussi mieux scorer les leads, proposer des offres ultra-personnalisées ou encore prédire les comportements futurs. Parce qu’un internaute qui consulte 10 fois le guide « 5 erreurs à éviter pour son premier crédit » sera forcément plus chaud qu’un visiteur lambda !

Autant d’externalités positives, qui montrent que le ROI d’une stratégie SEO de longue traîne dépasse largement le cadre du trafic pur. C’est l’image, la relation client, le produit même qui en ressortent grandis et différenciants. Pour peu qu’on exploite intelligemment la data et les signaux générés !

Un cercle vertueux qui explique pourquoi Meilleurtaux investit autant dans son approche SEO « de niche », avec une équipe dédiée de 20 personnes et des moyens conséquents (outils, contenus, techniques…). Parce que les bénéfices vont bien au-delà de la seule visibilité dans Google. C’est toute la proposition de valeur et la profitabilité de l’entreprise qui s’en trouvent dopées !

Les 3 leçons à retenir de la stratégie Meilleurtaux

On l’aura compris, le cas Meilleurtaux nous offre une magistrale leçon de « niche hacking », à l’heure où beaucoup se contentent de viser les mots-clés génériques les plus concurrentiels. En misant sur l’hyper-segmentation des requêtes, le comparateur montre qu’il y a une vie (et du business) au-delà des « têtes de gondole » !

Dans un univers aussi saturé et complexe que celui du crédit, c’est finalement en « épuisant » les mots-clés longs et techniques qu’on se construit un véritable avantage comparatif durable. A condition d’avoir les ressources et les outils pour tenir la distance dans la production de contenu…

Si cette approche longue traîne n’est pas forcément réplicable à l’identique pour tous les secteurs, elle nous livre néanmoins quelques enseignements universels :

  1. L’importance cruciale du contenu pour déverrouiller le potentiel SEO. Meilleurtaux l’a bien compris : impossible de mailler des milliers de combinaisons sémantiques sans s’appuyer sur des modèles de contenus éprouvés et « scalables ». C’est la clé pour activer à grande échelle des requêtes de niches porteuses… Tout en maintenant une exigence de qualité !
  2. Le rôle central de la data pour personnaliser les expériences. En croisant les données de navigation, de géolocalisation et de simulateurs, Meilleurtaux nourrit une connaissance prédictive unique de ses utilisateurs, qui lui permet d’adapter en temps réel ses recommandations et ses parcours. Une utilisation « intelligente » de la data, au confluent du SEO et du CRM.
  3. La dimension stratégique du SEO dans le business model. Loin d’être un simple canal d’acquisition, le référencement est au cœur même de la proposition de valeur et de la relation client chez Meilleurtaux. C’est par le contenu et les parcours ultra-qualifiants du SEO que le comparateur fidélise son audience et conclut une large part de ses ventes. Un levier business à 360° !

Des leçons qui démontrent qu’une vraie stratégie SEO ne se résume pas à accumuler du trafic à coup de mots-clés populaires. Mais bien à construire des écosystèmes éditoriaux et data, qui « packagént » intelligemment ses contenus et ses offres en fonction du besoin utilisateur. Exactement ce qu’a réussi Meilleurtaux dans l’univers du crédit.

Alors si vous aussi vous évoluez sur un marché concurrentiel, avec une offre complexe nécessitant du conseil, n’hésitez plus à tenter l’aventure longue traîne. Identifiez les « interstices » sémantiques, standardisez vos contenus de marque, fluidifiez vos parcours… Et laissez la data faire le reste ! Vous verrez rapidement monter votre taux de transformation SEO.

La longue traîne n’est pas une voie facile, mais c’est assurément la plus payante sur la durée. Meilleurtaux en est la preuve éclatante !

Etude de cas n°4 : Le Backlink Management selon Seb le Marketeux

Pour ce 4ème cas pratique, on change de registre… Direction le monde merveilleux du growth hacking et de l’entrepreneuriat digital, avec l’un de ses représentants les plus médiatiques : Sébastien (aka Seb) le Marketeux !

Pour situer le bonhomme, Seb est un peu le « Neil Patel » français : un expert en webmarketing qui partage depuis 10 ans ses conseils et ses expériences de croissance sur son blog perso. Au menu : SEO, content marketing, social media, mais aussi entrepreneuriat, productivité, développement personnel… Bref, tout l’univers du « 360° Digital Entrepreneur » !

Un blog qui pèse aujourd’hui plus de 100 000 abonnés, 2 millions de visiteurs annuels et plus de 450 articles publiés. Excusez du peu ! Mais surtout, un petit empire bâti quasi-exclusivement grâce au SEO et aux fameux « backlinks » qui nous intéressent ici. Car la grande force de Seb, c’est d’avoir su utiliser son blog comme une formidable machine à générer des liens entrants… Qui alimentent la croissance du reste de ses activités !

Un cercle vertueux qui a fait du Marketeux l’une des figures francophones les plus populaires (et controversées) du growth hacking. Mais aussi et surtout un cas d’école fascinant d’acquisition de liens, dans une optique de « personal branding » et de monétisation indirecte. Décryptage !

Côté sujets, on navigue ainsi entre des articles très pratiques type :

  • « 5 astuces pour rembourser son crédit plus vite »
  • « Crédit immo : les pièges à éviter absolument »
  • « Comment bien préparer son dossier de prêt ? »
  • « Tout ce qu’il faut savoir sur l’amortissement d’un crédit »

… Et des contenus plus « lifestyle » et communautaires comme :

  • « Témoignage : comment j’ai financé la voiture de mes rêves »
  • « Projet immobilier : les étapes clés, de la recherche au déménagement »
  • « Budget étudiant : nos conseils pour joindre les deux bouts »
  • « Sondage : pour quels projets avez-vous déjà souscrit un crédit ? »

Des sujets variés, mais qui tournent toujours autour de la même promesse : aider les emprunteurs à réaliser leurs projets en toute sérénité, via une information claire et du conseil sur-mesure. Avec un ton résolument pédagogue et bienveillant, dans la droite ligne du positionnement « CreditTech » de la marque.

Pour produire tous ces contenus, Younited Credit s’appuie sur une équipe éditoriale intégrée, composée de profils hybrides crédit-data-marketing. Des « credit geeks » passionnés, qui connaissent leur sujet sur le bout des doigts et savent en parler de façon simple et engageante !

Le blog fait aussi la part belle aux contenus « guest », produits par des experts ou blogueurs influents de l’univers crédit-finance (journalistes, coachs budget, médiateurs de crédit…). Une façon d’élargir sa palette éditoriale, tout en gagnant en crédibilité et en exposition auprès des communautés cibles. Car qui dit contenu invité dit presque toujours partages et backlinks !

D’ailleurs, chaque article est systématiquement « teasé » sur les réseaux sociaux de la marque (Facebook, Twitter, Instagram et même TikTok), avec un lien raccourci à la clé pour booster le trafic entrant. Le blog devient ainsi un véritable « hub » d’acquisition sociale, en plus d’être une machine à rankings sur les mots-clés informationnels !

Et les résultats sont au rendez-vous : en 3 ans, « Le Mag » est devenu un acteur incontournable du content credit, avec des métriques affolantes :

  • 500 000 visites mensuelles, dont 70% en SEO
  • Un taux de rebond moyen de 25% seulement
  • 7 minutes passées en moyenne sur les articles
  • 4 pages vues par session en moyenne
  • Un taux d’opt-in de 20% à la newsletter hebdo

Mais surtout, le blog génère un trafic ultra-qualifié et « pré-vendu » vers les landing pages produit. Selon les estimations internes, 30 à 40% des lecteurs « engagés » (qui ont lu au moins 2 articles) finissent par simuler un crédit dans les 30 jours. Et 15 à 20% vont jusqu’à la souscription effective ! Du jamais vu pour du contenu « froid », qui démontre bien la puissance du funnel d’acquisition de Younited.

Car toute la magie du « Mag » est là : amener progressivement l’internaute d’un contenu générique et désintéressé à une réflexion concrète sur son besoin de financement… Jusqu’à la souscription d’un crédit Younited quasi « naturellement ». Un parcours sans couture, qui capitalise sur la confiance et la préférence de marque générées en haut de tunnel !

Pour y parvenir, chaque article du blog est « balisé » avec des call-to-actions contextuels et personnalisés, qui s’adaptent en temps réel au profil de l’internaute. Exemples :

  • « Vous cherchez un financement pour votre projet ? Découvrez nos solutions en 2 minutes »
  • « Envie d’en savoir plus sur nos offres de crédit conso ? RDV par ici ! »
  • « On vous a convaincu ? Simulez votre prêt dès maintenant »

L’idée est d’être présent à chaque étape du parcours de lecture, en délivrant le bon message au bon moment. Une façon d’activer progressivement les leviers d’engagement et de conversion, sans brusquer le lecteur. Du « content-to-commerce » bien huilé !

  1. Un simulateur hyper-qualitatif intégré dans le contenu

Enfin, impossible de parler de la stratégie de contenu de Younited Credit sans évoquer LA fonctionnalité qui fait toute sa saveur : son fameux simulateur de crédit « nouvelle génération ». Un outil devenu incontournable dans le dispositif d’acquisition du site, tant il booste l’engagement et la conversion des visiteurs !

Concrètement, ce simulateur permet à l’internaute de visualiser en temps réel le coût et les mensualités d’un prêt Younited, en fonction de ses informations personnelles (montant emprunté, durée souhaitée, niveau de revenus…). Tout ça directement depuis l’interface de contenu qu’il est en train de consulter, sans changer de page !

L’outil se présente en effet sous la forme d’un widget « sticky » en bas d’écran, qui suit le visiteur tout au long de sa navigation (un peu comme les célèbres pop-ups Intercom). À tout moment, il peut ainsi saisir ou affiner ses critères de recherche, et obtenir un devis personnalisé en 2-3 clics.

L’avantage ? Une simulation ultra-qualitative et engageante, au plus près du besoin réel de l’internaute. Fini les estimations génériques basées sur des profils standard ! Ici, chacun obtient une réponse sur-mesure, correspondant exactement à sa situation et son projet.

Cerise sur le gâteau : le widget est « intelligent » et s’enrichit automatiquement des données saisies par l’internaute tout au long de son parcours. S’il a déjà renseigné son montant de projet ou sa situation pro sur une landing page, pas besoin de le redemander ! Le simulateur récupère l’info pour pré-remplir les champs… Et fluidifier encore l’expérience.

Mais le véritable « plus » de cet outil, c’est son intégration native au contenu éditorial du site. Chaque guide, chaque article, chaque page du blog est « augmenté » par le widget, qui vient apporter une couche d’interactivité et d’utilité directe aux infos présentées.

Ainsi, quand un article explique les différences entre crédit perso et crédit affecté, le simulateur apparaît en suggérant « Et vous, quel type de crédit correspondrait le mieux à votre besoin ? ». Quand un post de blog donne des astuces pour rembourser plus vite, le widget propose de « Calculer vos mensualités en fonction de vos capacités ». À chaque contenu sa simulation dédiée !

C’est toute la force de ce « simulateur conversationnel ». En réagissant de façon pertinente au contenu consulté, il crée une vraie valeur ajoutée pour l’internaute… Et booste mécaniquement son engagement et sa confiance. Qui irait se renseigner ailleurs, quand on lui propose une réponse claire et personnalisée en deux clics ?

Les chiffres parlent d’eux-mêmes :

  • 40% des visiteurs uniques interagissent avec le simulateur
  • Le taux de conversion simulateur > souscription est de 25% (!)
  • Les visiteurs ayant utilisé le simulateur ont 3 fois plus de chances de souscrire un prêt
  • 60% du CA annuel est généré par des clients issus du simulateur !

Autant dire que cet outil est devenu le chaînon manquant entre les contenus éditoriaux du site et son tunnel de conversion. Un moyen ultra-efficace de transformer l’audience « froide » en prospects qualifiés… Et les prospects en clients ! Tout ça sans passer par la case « landing page produit » et son lot de frictions.

Au final, on a là un magnifique exemple de growth hacking appliqué au contenu. En combinant une production éditoriale massive et ciblée, une activation intelligente des leviers d’engagement et un simulateur hyper-qualitatif, Younited Credit a réussi un coup de maître : intercepter une audience intentionniste dès les premières étapes de sa recherche… Et l’amener sans couture jusqu’au stade de l’achat !

Une approche hybride, à cheval entre le brand content, le content marketing et le social selling, qui bouscule les codes du crédit en ligne. Et qui porte ses fruits, avec une croissance annuelle moyenne de 30% ces trois dernières années. De quoi inspirer tous les acteurs de la fintech… Et au-delà !

Alors, prêt à enfiler votre plus belle plume et votre plus belle casquette de growth hacker ? Il est grand temps de passer du funnel au tunnel de conversion !

Étude de cas n°5 : Hellio mise sur l’I.A. générative pour se hisser au sommet des SERPs

Les pompes à chaleur, c’est son expertise depuis plus de 15 ans. Pourtant, il y a encore quelques années, peu de gens associaient spontanément le groupe Hellio à ce marché en forte croissance. À l’ère de la transition énergétique, la PME peinait à exister sur le marché ultra-concurrentiel du génie climatique. Ses concurrents historiques (Valliant, Viessmann…) trustaient naturellement les résultats Google pendant qu’Hellio ramait pour se faire une place au soleil. Pour lui, le constat était clair : sans meilleure visibilité en ligne, pas de salut dans le game dominé par les géants !

Bien décidé à prendre sa revanche, Hellio change drastiquement son fusil d’épaule en 2019. Objectif : hisser la marque en haut des classements Google sur les mots-clés liés à la pompe à chaleur et ainsi taper dans l’œil des maîtres d’ouvrage fraîchement éligibles au dispositif CEE (Certificats d’Economie d’Energie). Une cible stratégique, aussi volatile que les prix du gaz.

À la clé : une nouvelle stratégie SEO bien plus offensive que par le passé. Car Hellio en est convaincu : avec la démocratisation des pompes à chaleur, Google sera LE carrefour pour drainer des prospects prêts à sauter le pas, qui comparent, analysent les solutions possibles avant de trancher. En clair, le Graal à portée de clics pour une marque en quête de notoriété et de leads !

Pourtant, les défis à relever s’avèrent costauds :

  • Des mots-clés ultra-génériques ultra-dominés par les pure players du PAC. Impossible de se faufiler sur les requêtes les plus volumineuses, déjà trustées par les poids lourds.
  • Un manque cruel de contenu technique et expert pour étayer son positionnement. Dur de revendiquer son ADN « PAC » quand sa base d’articles se limite à quelques news de produits !
  • Une politique de maillage interne pauvre, qui freine clairement la thématisation. Comment montrer à Google qu’on est LA référence de la PAC si on parle de tout et de rien sur son site ?
  • Un tunnel de conversion poussif, très loin derrière les mastodontes du secteur. Pas facile de se démarquer quand on empile formulaires et pop-ups !

Bien décidé à inverser la vapeur, Hellio décide de s’appuyer sur une arme fatale : l’intelligence artificielle générative façon GTP-3. L’idée ? Construire en un temps record une galaxie de contenus experts dédiée à la pompe à chaleur. Une opération choc pour capter l’attention des robots… et des prospects !

Retour sur cette ambitieuse stratégie de sémantisation dopée à l’IA et ses résultats étonnants. Une approche pionnière sur un marché délicat, où la compétition fait rage pour des mots-clés à rallonge !

  1. Des contenus à la chaîne grâce à l’IA

C’est d’abord sur le terrain du contenu qu’Hellio décide de frapper fort. Objectif : étoffer massivement sa base éditoriale pour asseoir son positionnement sur la PAC. Rien de moins qu’un véritable blitzkrieg du contenu pour s’installer dans la cour des grands !

Pour arriver à ses fins, la marque change radicalement son fusil d’épaule : fini les articles au fil de l’eau, pondu à la sueur du SEO sans cohérence. Place à une production de contenu industrielle et calibrée pour le SEO, avec à la baguette un outil inattendu : le GPT-3 d’OpenAI !

Le pari est osé. Difficile en effet d’imaginer qu’une IA, fusse-t-elle la plus puissante du monde, puisse remplacer l’expertise humaine sur un sujet aussi technique que la pompe à chaleur. Mais Hellio y croit dur comme fer, au point de lancer une fastidieuse campagne de génération de contenu aux petits oignons…

1ère étape : le cadrage initial. Les équipes marketing et communication passent près de deux semaines à définir un cahier des charges ultra-détaillé pour GPT-3. Objectif : cadrer au mieux les familles d’articles à générer. Longueur, ton, cibles, intentions… Rien n’est laissé au hasard pour assurer une production cohérente… Et réplicable à grande échelle !

Résultat : une impressionnante liste de thématiques optimisées pour le SEO où se croisent :

  • Des guides d’achat sur les différents types de PAC (air-eau, air-air, géothermique…).
  • Des fiches produits et marques pour comparer les meilleures solutions.
  • Des FAQ explicatives pour répondre aux questions récurrentes des prospects.
  • Des articles de fond sur les enjeux environnementaux et économiques de la PAC.
  • Des retours d’expérience et conseils pratiques pour choisir, installer et entretenir son système.

2ème étape : la création des « prompts », ces fameuses consignes données à l’IA pour orienter sa production. Une phase cruciale où il faut souvent jongler entre plusieurs prompteurs avant de trouver la bonne formule ! Là encore, Hellio décide d’industrialiser le process en créant des arbres génératifs – des sortes de prompteurs gigognes où une multitude d’articles découlent d’une même requête initiale.

Par exemple : « Rédige un article exhaustif pour guider l’achat d’une pompe à chaleur géothermique. L’article devra traiter les principaux critères : puissance, type d’installation, performance énergétique, marque, prix, aides financières et entretien. Ton inspirant et rassurant. 1000 mots minimum. »

Et comme par magie, GPT-3 s’exécute avec une rigueur presque inquiétante. Premier jet bluffant, deuxième jet saupoudré de conseils bonus, troisième jet garni d’exemples bons pour le SEO… À mesure que l’arbre génératif se déploie, les contenus s’enrichissent jusqu’à frôler la perfection éditoriale !

3ème étape : la curation humaine et le contrôle qualité. Car même dopé au machine learning, impossible de faire l’impasse sur l’expertise des collaborateurs Hellio. Ingénieurs, techniciens, commerciaux… Tous sont mis à contribution pour valider, enrichir, nuancer les propositions de l’IA. L’humain garde toujours la main, ne serait-ce que pour s’assurer que rien de farfelu ou d’erroné ne se glisse dans les contenus !

Dernier point d’attention : le SEO, évidemment. Chaque contenu est passé au crible des bonnes pratiques pour maximiser sa visibilité. Mots-clés dans les hn et paragraphes, balises optimisées, champs lexicaux denses… Tout est bon pour cocher les cases de l’algo Google, sans tomber dans le piège du sur-optimisé. Un juste équilibre entre pertinence et appétence SEO, rendu possible par le machine learning.

En quelques semaines seulement, ce sont ainsi des centaines d’articles, de fiches pratiques et de guides qui sortent des « rotatives » GPT-3. Une galaxie de contenus experts dédiée à la pompe à chaleur, unique en son genre sur le marché français. De quoi rhabiller le site Hellio d’un épais manteau de crédibilité et bâtir sa réputation de porte-étendard du génie climatique. Avec un avantage certain sur la concurrence : aucun acteur du secteur n’a (encore) osé la bascule dans le 100% généré !

  1. Une nouvelle architecture sémantique boostée au siloing

Autre axe fort de la stratégie SEO d’Hellio : une refonte en profondeur de l’architecture du site. L’objectif ? Restructurer de fond en comble son environnement éditorial pour créer un véritable  » ecosystème PAC », avec un maillage aussi rationnel que favorable au SEO. En résumé : montrer à Google qu’Hellio est LA référence incontournable en matière de pompe à chaleur.

Là encore, c’est le recours massif à l’IA qui change la donne. Les équipes Hellio s’appuient en effet sur GPT-3 pour générer un immense mindmap des thématiques liées à la PAC, et imaginer un nouveau site-tree dédié pour les accueillir. De la conception à la rédaction des contenus en passant par l’interlinking, tout le chantier est orchestré à l’aide du machine learning !

1ère étape : générer la « carte » des intentions de recherche autour de la PAC. Via une série de prompts ingénieux, GPT-3 identifie les grandes familles de requêtes associées aux pompes à chaleur. Des plus génériques (« pompe à chaleur », « installation PAC »…) aux plus spécifiques (« entretien PAC air-eau », « rendement PAC inverter »…) en passant par les questions les plus fréquentes (« coût d’une PAC », « PAC éligible aux aides »…).

Dans la foulée, l’IA propose une arborescence de rubriques et de sous-rubriques pour couvrir exhaustivement le sujet. Un véritable « squelette sémantique », avec des exemplaires nommés selon les intentions de recherche :

  • Rubrique « Tout savoir sur la pompe à chaleur »
    • Sous-rubrique « Fonctionnement d’une pompe à chaleur »
    • Sous-rubrique « Les différents types de pompe à chaleur »
  • Rubrique « Installer une pompe à chaleur »
    • Sous-rubrique « Choisir sa pompe à chaleur »
    • Sous-rubrique « Installateurs agréés RGE »
  • Rubrique « Entretenir sa pompe à chaleur »
    • Sous-rubrique « Maintenance annuelle PAC »
    • Sous-rubrique « Dépannage pompe à chaleur »

Impressionnant de cohérence et d’exhaustivité ! Comme si l’outil avait ingurgité des dizaines de briefs SEO par le passé… Ce qui, quelque part, est le cas vu l’immense base d’apprentissage sur laquelle il s’est construit.

2ème étape : la répartition des contenus existants (et à venir) au sein de cette nouvelle architecture. Là encore, GPT-3 fait des merveilles grâce à ses capacités de compréhension du langage. Soumettez-lui n’importe quel article ou fiche du site, il saura vous dire avec précision dans quelle rubrique le classer !

Mieux : il est capable de générer des contenus parfaitement adaptés à chaque « case » de la nouvelle arborescence, y compris la rédaction de balises hn optimisées. De quoi remplir le nouveau site à grande vitesse et avec une cohérence éditoriale sans faille. Dur de faire plus « SEO-proof » !

3ème étape : le maillage interne des contenus, pilier d’une architecture favorable au référencement. Comment s’assurer que Google fasse bien le lien entre toutes ces pages et atterrisse sur les plus stratégiques ? En créant un savant réseau d’hyperliens internes, qui guident le crawler à travers le site comme dans un jeu de piste.

Encore une fois, c’est GPT-3 qui supervise cette vaste opération de « siloing ». Via des consignes ultra-précises, l’IA va identifier les meilleurs points de liaison entre les contenus et générer les liens ad hoc. Exemples :

  • « Pour chaque article dans la rubrique ‘Les différents types de PAC’, créer un lien contextuel vers la fiche produit associée ».
  • « Trouver 5 opportunités de lien dans chaque guide vers la rubrique ‘Entretenir sa pompe à chaleur »
  • « Intégrer un call-to-action vers la landing page devis en fin de chaque article informatif »

En à peine quelques itérations, c’est un maillage en béton armé qui se dessine, sans aucun lien mort ni incohérence sémantique. Une belle prouesse quand on sait le temps et l’énergie que demande un interlinking manuel sur un gros site ! Un gain phénoménal pour Hellio, qui pose ainsi les bases d’une architecture calibrée pour le SEO… Et pour longtemps.

  1. Des landings « money time » optimisée pour convertir

Dernier volet de la stratégie SEO d’Hellio, et non des moindres : l’optimisation des pages « money time », celles destinées à convertir le trafic SEO en leads commerciaux. Car c’est bien beau de cartonner sur Google, encore faut-il transformer l’essai en prospects (et en chiffre d’affaires) ! Un enjeu crucial dans le secteur ultracompétitif de la PAC, où les taux de transformation font souvent la différence.

Conscient de la criticité de ces pages, Hellio décide de mettre le paquet sur sa nouvelle batterie de landings. Objectif : en faire de véritables « aspirateurs à leads », conçus pour capter un maximum de demandes de devis qualifiées. Avec à la clé, un recours intensif à l’IA pour sublimer l’expérience utilisateur… Et gonfler la conversion !

Les points d’attention sont nombreux :

  • Travailler des accroches imparables, qui donnent immédiatement envie de convertir. Pas question de noyer le poisson avec des promesses fumantes ! Chaque titre et sous-titre doit aller droit au but, avec un maximum d’impact.
  • Soigner le design et l’ergonomie pour fluidifier le parcours utilisateur. Un internaute qui galère à trouver le formulaire de contact, c’est un lead potentiel qui s’envole ! Place donc à une UI épurée et une UX mobile-first.
  • Rassurer avec des éléments de preuve sociale et des témoignages clients. Rien de tel qu’un avis positif pour déclencher une prise de contact ! D’où l’intégration de verbatim certifiés sur les landings.
  • Proposer des calculettes et simulateurs hyper-qualitatifs. L’idée ? Permettre à l’internaute de projeter son besoin (et son budget) en deux clics, sans le noyer sous les questions. Un moyen infaillible d’engager la conversation !
  • Décliner les call-to-action à toutes les sauces. Formulaire, click-to-call, chatbot, rappel… Chaque prospect doit trouver chaussure à son pied pour demander son devis. Vive l’omnicanalité !

Vous l’aurez compris : l’enjeu est de créer des pages sur-mesure, qui répondent précisément aux attentes et interrogations de l’internaute à ce stade de son parcours d’achat. Tout le contraire des landings génériques, truffées de blabla marketing et de champs à remplir !

Et c’est là que GPT-3 entre (encore) en scène. Car plutôt que de partir d’une page blanche, les équipes Hellio décident de s’appuyer sur la puissance du machine learning pour générer des modèles hyper-optimisés. Le principe : briefer l’IA sur les persona, les objectifs et les messages clés de chaque landing… Et la laisser proposer une première mouture rédigée, designée et articulée aux petits oignons !

Un vrai gain de temps et d’efficacité, puisqu’il ne reste plus qu’à ajuster et personnaliser ces templates en fonction du contexte. Les marqueurs de génération choisis font le reste, en adaptant le contenu et les visuels au profil de l’internaute. Quelques exemples de prompts créatifs :

  • « Rédige une accroche punchy pour une entreprise qui cherche à installer une PAC en remplacement de sa vieille chaudière fuel. Mets en avant les économies à la clé et l’argument écologique. »
  • « Propose 5 témoignages clients variés qui mettent en avant la qualité de service Hellio sur un projet PAC en rénovation. Verbatim sur le respect des délais, le SAV, le gain de confort… »
  • « Imagine le parcours utilisateur idéal sur une landing ‘devis PAC en 5 min’. Quelles étapes, quels éléments de réassurance, quels champs de formulaire ? »

Et là encore, les résultats sont spectaculaires ! En un temps record, Hellio garnit son site de landings ultra-qualitatives, avec des taux de transformation qui explosent les compteurs. La preuve par l’exemple qu’une page créée par une IA (et supervisée par un humain) peut largement rivaliser avec une page conçue par un pro du marketing !

  1. Des résultats SEO (et business) impressionnants

Vous l’aurez compris : en misant sur l’IA générative pour doper sa stratégie SEO, Hellio a fait le pari de l’innovation technologique… Et de la disruption par le contenu ! Un virage ambitieux, aux résultats plus que probants :

  • Un gain de plus de 1000 places sur les 50 mots-clés les plus stratégiques du secteur.
  • +150% de trafic organique en 6 mois, dont 80% sur la partie « pompe à chaleur » du site.
  • X3 sur le volume de leads entrants, avec un taux de conversion moyen de 12%.
  • 40% des demandes de devis désormais issus de la SEO.
  • Une explosion des ventes et des parts de marché, avec un CA en croissance de 30% au S1 2023.

Autant de metrics qui témoignent du succès de l’approche d’Hellio. En l’espace de quelques mois, le challenger est devenu un acteur incontournable du marché PAC, capable de batailler avec les géants du secteur sur leur terrain de jeu préféré : la visibilité Google.

Un succès fulgurant, qui doit beaucoup à la puissance prédictive de l’IA. Car en générant des contenus ultra-pertinents à la chaîne, en les organisant dans une architecture sémantique béton et en optimisant chaque étape de la conversion, GPT-3 a fait gagner un temps fou à Hellio. Tout en apportant un niveau de qualité et de cohérence inédit, qu’aucune équipe marketing n’aurait pu atteindre à cette échelle.

On touche ici du doigt le vrai potentiel du machine learning appliqué au SEO : celui d’automatiser et d’industrialiser les tâches chronophages, pour se concentrer sur la stratégie et la valeur ajoutée. Un enjeu majeur à l’heure où les contenus se multiplient et où Google se fait de plus en plus exigeant sur la qualité…

Et ce n’est qu’un début ! Fort de ces premiers résultats, Hellio compte bien poursuivre sa mue digitale en investissant massivement dans l’IA. Chatbot, personnalisation temps réel, analyse des sentiments… Autant d’innovations dans les cartons pour enrichir encore l’expérience client et snober la concurrence.

Preuve s’il en fallait que l’avenir du SEO se conjugue désormais avec l’intelligence artificielle. Et que les marques qui sauront prendre ce virage (sans se laisser déborder) disposeront d’un avantage compétitif majeur sur leur marché. L’heure n’est plus au bricolage artisanal, mais à l’industrialisation des contenus et des processus !

Alors, prêt à lâcher les chevaux et à laisser une IA générer votre prochaine landing page ? Vous verrez, c’est bluffant… Et terriblement efficace !

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